A l’affut des mauvaises herbes

Les vers de terre? Dans le jardin. Les noisetiers? Dans le jardin ou à la campagne. Les lézards? Au soleil. Les coucous? En forêt. Avec Missions Printemps, cette semaine c’est l’observation en milieu urbain qui est à l’honneur…

Par GVadmin Modifié le 12 juillet 2012 à 17 h 25

Les vers de terre? Dans le jardin. Les noisetiers? Dans le jardin ou à la campagne. Les lézards? Au soleil. Les coucous? En forêt. Avec Missions Printemps, cette semaine c’est l’observation en milieu urbain qui est à l’honneur. Pas besoin de grands espaces, de soleil ou de terre. Juste de la chaleur des routes et des gaz d’échappements et d’une jointure entre les pavés, une fissure dans le béton.

Avec l’évolution des consciences environnementales, les « mauvaises herbes » fleurissent dans les villes. Elles sont de moins en moins nombreuses à leur faire la chasse à grand renfort de désherbants chimiques. Les nouvelles méthodes de nettoyage, plus douces, permettent à certaines plantes de passer entre les mailles du filet.

Tant mieux, car Missions Printemps propose de s’intéresser cette semaine à trois d’entre elles. Le séneçon du Cap, le pissenlit et la cardamine hirsute. L’œil affuté, un appareil photo en main, il s’agit d’arpenter les rues voisines à la recherche des ces trois «sauvages de ma rue». Leur observation permettra de faire une cartographie de leur répartition urbaine.

Fleurissent-elles plus tôt en ville qu’à la campagne? Envahissent-elles les rues ? Quel est leur mode de prolifération ?

C’est à vous de le dire.

Gaspard Mathé

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