SERIE : les candidats à l’élection présidentielle et la crise française

Episode 7 : Quels sont les proies favorites des différents candidats aux élections présidentielles ? Dans la réalité objective qui attaque qui et dans quelles proportions ?

Par melanie.mangold Modifié le 6 juillet 2012 à 12 h 10

Épisode 7 : Quels sont les proies favorites des différents candidats aux élections présidentielles ?

A Quatre jours de l’élection présidentielle française, Valérie Fert, présidente de Globe Expert, offre une vision différente sur celle-ci. Il ne s’agit pas d’un sondage ou d’une analyse de plus, mais de cartographies de la réalité objective. Chaque jour, jusqu’au 21 avril, retrouvez une analyse de Valérie Fert sur Green et Vert.

Pour cette septième analyse, la question soumise à Globe Expert est la suivante :

Dans la réalité objective qui attaque qui et dans quelles proportions ?

L’écosystème des candidats

Prédations dans la réalité objective, qui n’est pas celle de l’électorat : qui attaque qui et dans quelles proportions ?

Eva Joly : Poutou 17%, Arthaud 17%, Mélenchon 15%, Sarkozy 14%, Cheminade 10%, Dupont-Aignan 9%, Bayrou 8%, Hollande 6%, Le Pen 5%.

Jean-Luc Mélenchon : Sarkozy 18%, Arthaud 16%, Poutou 14%, Cheminade 13%, Dupont-Aignan 12%, Bayrou 11%, Hollande 8%, Le Pen 7%.

Philippe Poutou : Arthaud 20%, Mélenchon 18%, Sarkozy 16%, Cheminade 12%, Dupont-Aignan 11%, Bayrou 10%, Hollande 7%, Le Pen 6%.

Nathalie Arthaud : Mélenchon 22%, Sarkozy 20%, Dupont-Aignan 14%, Cheminade 14%, Bayrou 12%, Hollande 9%, Le Pen 8%.

Nicolas Sarkozy : Cheminade 25%, Dupont-Aignan 24%, Bayrou 21%, Hollande 16%, Le Pen 14%.

Jacques Cheminade : Dupont-Aignan 31%, Bayrou 28%, Hollande 21%, Le Pen 14%.

Nicolas Dupont-Aignan : Bayrou 41%, Hollande 32%, Le Pen 28%.

François Bayrou : Hollande 53%, Le Pen 47%.

François Hollande : Le Pen 100%.

Marine Le Pen : Aucune prédation.

Et si les élections n’avaient pas lieu dimanche prochain, comment nos candidats évolueraient-ils ? Réponse demain avec des projections qui mettent en évidence les « signaux faibles » et tendances profondes.

Valérie Fert

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