Recalée par l’ONU pour sa pauvreté infantile

Le taux de maltraitance et de pauvreté des enfants en Nouvelle-Zélande a fait l’objet d’un rapport des Nations Unies, réclamant une amélioration …

Par GVadmin Modifié le 20 juillet 2012 à 15 h 51

Le taux de maltraitance et de pauvreté des enfants en Nouvelle-Zélande a fait l’objet d’un rapport des Nations Unies, réclamant une amélioration de la reconnaissance des droits des enfants.

Le rapport souligne aussi le taux de suicide élevé, l’accès limité à l’éducation de la petite enfance et les différences grandissantes de conditions de vie et de santé pour les enfants Maori.

Malgré de bonnes initiatives dont la loi pour la protection des enfants de 2004, des mesures sont  désormais requises pour les enfants vulnérables, dont les Maoris et ceux du Pacifique, qui ont un accès limité aux soins et à l’éducation.

Depuis la Convention des Droits de l’Enfant en 1993, les progrès ont été trop lents et le recul causé par la baisse de l’âge de responsabilité criminelle et des fonds accordés à l’éducation de la petite enfance n’aide pas. Le taux de maltraitance des enfants en Nouvelle-Zélande est l’un des plus élevés des pays de l’OCDE, 20% des enfants vivent dans la pauvreté (notamment dans les familles dont les revenus sont 60% moins élevés que la moyenne du pays).

La maltraitance des enfants coûte 2 milliards de dollars par an au gouvernement, qui ne peut plus fermer les yeux s’il veut éviter de retrouver ces enfants dans les systèmes judiciaire ou de santé d’ici quelques années.

En général bien traités, les enfants néo-zélandais sont réellement en danger quand le système échoue. Le gouvernement a reconnu l’urgence et lancé une série d’initiatives pour aider les personnes au chômage à retrouver un emploi et diminuer la pauvreté :

Aucun enfant de devrait avoir faim.

Aucun commentaire à «Recalée par l’ONU pour sa pauvreté infantile»

Laisser un commentaire

* Champs requis

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.